Kendji Girac évoque Soraya, son plus grand soutien : « Je me devais de lui dire que j’ai changé »
Son grand retour déjà bien entamé, Kendji Girac est revenu sur le soutien sans faille de sa compagne Soraya et sur leur nouvelle vie de famille depuis l’incident d’avril dernier.
À l’aube de sa tournée événement (qui marque aussi son grand retour sur le devant de la scène depuis son accident survenu en avril dernier),
Kendji Girac semble vouloir se confier à cœur ouvert, plus que jamais.
De passage sur le plateau de « 20h30 Le Dimanche » auprès de Laurent Delahousse, le juge de « The Voice Kids » a évoqué sa compagne, Soraya, et le soutien indéfectible de cette dernière.
« Elle a toujours été là, depuis le début. C’est une femme très forte, contrairement à ce qui a été dit dans les médias.
On a été un petit peu choqués de ce qui s’était dit », a confié l’interprète de « Si seulement… », un nouveau single dédié à sa compagne, paru en août dernier.
« J’ai beaucoup pensé à elle en enregistrant cette chanson. J’étais très ému de pouvoir lui chanter ça, de pouvoir la réconforter avec ces paroles qui sortent du cœur. »
« Tout va bien »
Après l’incident d’avril, au cours duquel le chanteur s’était « volontairement » tiré dessus avec un revolver pour convaincre sa chérie de ne pas le quitter, il souhaite se rattraper
: « Je me devais de lui dire que j’ai changé et que je veux faire de bonnes choses. J’ai voulu lui dire la vérité. Je veux être le socle de ma famille et être là pour elle. »
« Il y a beaucoup d’amour à la maison, et beaucoup de sourires », a-t-il poursuivi, faisant référence à sa petite Eva Alba (3 ans).
« Je suis heureux, je suis très content de voir que tout va bien. »
En avril dernier, l’annonce de sa blessure par balle avait fait la Une des journaux.
Le jeune homme de 28 ans, révélé par « The Voice » en 2014, confiait au procureur de Mont-de-Marsan avoir agi sous influence, notamment d’alcool et de cocaïne :
« J’ai fait quelque chose qui n’est pas moi, qui n’est pas dans mes habitudes.
» Deux mois plus tard, il assurait être prêt à changer, pour le bien de ses proches :
« On peut toujours se relever, rien n’est figé dans la vie. Il faut comprendre et se faire aider pour ne plus recommencer. »