A la télé, on ne voit rien du tout ! Et pourtant, Jean-Baptiste Boursier cache une particularité physique

Sur les plateaux télévisés, Jean-Baptiste Boursier apparaît toujours en costume, tiré à quatre épingles. Mais derrière ce look strict et sérieux, le journaliste cache une particularité physique inattendue. Explications

Jean-Baptiste Boursier est une figure connue et reconnue du petit écran.

Depuis 2023, il officie à la matinale de LCI. Et voilà maintenant plus d’un mois qu’il a été nommé joker de Gilles Bouleau à la présentation du journal de 20 Heures sur TF1.

Un nouveau rôle qu’il endosse à merveille : les audiences se portent très bien et les retours des téléspectateurs sont plus que positifs. Mais derrière son ton juste, le journaliste de 42 ans cache une particularité physique invisible à l’écran.

Lorsqu’il présente le journal télévisé sur la première chaîne, personne ne remarque rien.

Et pour cause, Jean-Baptiste Boursier porte un joli costume, comme la grande majorité de ses collègues. Mais lorsqu’il enlève sa veste et sa chemise loin des plateaux télévisés, ses bras apparaissent remplis de tatouages ! Au total, il en possède six.

Difficile d’imaginer le journaliste, “encore plus beau à 40 ans” qu’à 27 comme en témoigne un avant/après bluffant, tatoué. Et pourtant, c’est bien le cas. Plus encore, il est même adepte de moto ! Un loisir que peu auraient pu deviner.

Jean-Baptiste Boursier : Son physique impacté par un “héritage familial”

Ces tatouages ne sont pas la seule particularité physique de Jean-Baptiste Boursier. En effet, celui qui aime se détendre dans sa maison du bonheur avec sa belle Alexandra affiche une belle chevelure poivre et sel qui lui donne du charme.

Et c’est très jeune qu’il a dû s’habituer à cette nouvelle couleur de cheveux. “Un héritage familial, j’ai commencé à grisonner à l’âge de 20 ans”, révélait-il à nos confrères de GQ. Une chose est sûre, aujourd’hui, c’est sa signature.

Des confidences exceptionnelles sur son apparence. En effet, Jean-Baptiste Boursier se fait discret et n’évoque qu’à quelques rares occasions sa vie privée. “Peut-être que je suis lisse. Mais je ne veux être jugé que sur mon travail.

L’aspérité peut être dans la façon de questionner les gens. L’aspérité, ce n’est pas forcément un gros trait au feutre noir”, déclarait-il dans les colonnes de Libération.