“C’est surprenant” : Sylvie Vartan a écrit une chanson sur une “grande histoire d’amour” qu’elle a vécue avec un chanteur

Alors qu’elle s’apprête à dire au revoir à la scène, Sylvie Vartan a accepté de répondre aux questions de La Montagne. Elle est notamment revenue sur l’une de ses chansons et sur l’homme célèbre qui l’a inspirée.

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“C’est surprenant” : Sylvie Vartan a écrit une chanson sur une “grande histoire d’amour” qu’elle a vécue avec un chanteur

Cette fois, elle l’assure, c’est terminé. Sylvie Vartan fait en ce moment sa grande tournée d’adieu.

À 80 ans, elle pense qu’il est temps pour elle de tirer sa révérence et de prendre sa retraite.

À l’occasion de son passage au festival de Sémaphore en chanson, les 16 et 17 novembre prochains, La Montagne s’est entretenue avec la chanteuse française.

Elle a révélé la raison pour laquelle elle a écrit Bahia.

Comme souvent, il y a de l’amour derrière tout cela. “Je l’ai écrite parce que j’avais une grande histoire d’amour avec Nino Ferrer. Il voulait absolument m’emmener à Bahia.

Alors j’ai écrit ça pour lui… ou pour personne. C’est véritablement une chanson neutre. C’est surprenant peut-être pour beaucoup, mais c’est comme ça que je la vois”, explique Sylvie Vartan, en gardant un brin de mystère.

Les histoires d’amour de Sylvie Vartan

Le grand amour de Sylvie Vartan n’est pourtant pas Nino Ferrer.

En 1965, c’est avec Johnny Hallyday que la jeune blonde se marie. Le couple est ensemble depuis trois ans.

En 1966, ils accueillent un fils, David. Cette histoire d’amour, faite de hauts et de bas et de nombreuses collaborations artistiques, se termine en 1980, lorsque leur divorce est officiellement prononcé par la justice.

En 1984, Sylvie Vartan s’est remariée avec Tony Scotti, un producteur américain. Ensemble, ils ont adopté une fille en 1997.

Chez Sylvie Vartan, l’émotion vient naturellement
Sylvie Vartan assure qu’elle n’est “pas calculatrice” dans sa manière de faire de la musique et de créer de l’émotion.

Il y a la musique, toujours en premier, parce que c’est porteur de son et surtout du phrasé, explique-t-elle à La Montagne.

C’est ça qui va permettre de faire sonner le français. La musique me porte à écrire ce qui sonne bien, ce qui va swinguer. Mais je ne me dis jamais : ‘Tiens ça, ça va faire pleurer dans les chaumières.’ Et de la même manière, je ne me dis jamais que je vais écrire sur un sujet ou sur un autre.

Ça vient comme ça.” Sylvie Vartan sera au Palais des Congrès les 24, 25 et 26 janvier pour les dernières dates de concert de sa carrière.