Mort d’Alain Delon : son chien Loubo, gardien du temple, continue de veiller sur Douchy

Le 18 août dernier, Alain Delon rendait son dernier souffle à l’âge de 88 ans dans sa résidence de Douchy. Il laisse derrière lui trois enfants, Anthony, Anouchka et Alain-Fabien, mais également son chien, Loubo. Ce dernier veille d’ailleurs au grain sur sa demeure.

Un fidèle compagnon à quatre pattes pas comme les autres. Le 18 août dernier, Alain Delon décédait à l’âge de 88 ans dans sa résidence de Douchy. Une disparition qui a ému le monde entier. L’acteur laisse alors derrière lui trois enfants, Anthony, Anouchka et Alain-Fabien Delon. Ce sont d’ailleurs ces derniers qui ont annoncé le décès de leur père à travers un communiqué commun adressé à l’AFP, en n’oubliant pas de mentionner Loubo, le chien du comédien qui a égayé ses dernières années. “Alain-Fabien, Anouchka, Anthony, ainsi que Loubo, ont l’immense chagrin d’annoncer le départ de leur père, ont-ils annoncé ensemble. Il s’est éteint sereinement dans sa maison de Douchy, entouré de ses trois enfants et des siens.”

Alain Delon laisse ainsi derrière lui ses trois enfants mais également son chien avec qui il souhaitait mourir. Depuis sa disparition, ce berger belge veille au grain sur la demeure de Douchy comme en témoigne la story Instagram que son fils aîné Anthony Delon a partagé ce jeudi 22 août. Sur l’image qu’il a posté, Loubo est allongé tranquillement sur un parterre en brique devant un chemin menant à la maison de l’acteur situé entre de grands arbres. Nul doute que son maître doit terriblement lui manquer.
Capture d’écran Instagram @therealanthonydelon

Mort d’Alain Delon : après la polémique, on sait qui va s’occuper de son chien Loubo

L’avenir de Loubo a fait beaucoup parler depuis le décès d’Alain Delon. En 2018, dans un entretien accordé à Paris Match, l’acteur expliquait vouloir mourir au côté de son ami à quatre pattes. “Si je meurs avant lui, je demanderai au vétérinaire qu’on parte ensemble. Il le piquera afin qu’il meure dans mes bras. Je préfère ça plutôt que de savoir qu’il se laissera mourir sur ma tombe avec tant de souffrances“, confiait-il Une décision qui avait fait polémique à l’époque. La Fondation 30 millions d’amis avait alors rappelé que l’euthanasie était une pratique visant à “mettre fin aux souffrances d’un animal malade ou âgé“, ce qui n’est pas le cas de Loubo. Le lendemain du décès d’Alain Delon, la SPA avait alors annoncé vouloir sauver l’animal. “Avant sa mort, il avait émis le souhait d’euthanasier son chien Lobo, expliquait l’organisation sur X (anciennement Twitter). Cependant la vie d’un animal ne doit pas être conditionnée à celle d’un humain. La SPA est porte volontaire pour recueillir son chien et lui trouver une famille.”