Sonia Mabrouk jeune maman : la touchante origine du prénom de sa fille

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Auprès de TV Magazine, jeudi 19 septembre, Sonia Mabrouk a évoqué le choix du prénom de sa petite fille, née cet été, qui a une symbolique très importante à ses yeux.

Jeudi 19 septembre, Sonia Mabrouk a accordé une interview à TV Magazine, à l’occasion de son retour à l’antenne de CNews, quatre mois après le début de son congé maternité. Ayant accueilli une petite fille en juillet dernier, la journaliste de 46 ans a évoqué sa reprise du travail, son “excitation”, son nouveau rôle de maman, véritable “bonheur absolu” puisqu’elle attendait son bébé “depuis tellement longtemps”, mais aussi le prénom de son bout de chou. Prénommée Soraya, le bébé porte en elle ses origines familiales et notamment maternelles.

En effet, ce prénom était celui de la mère de Sonia Mabrouk. Dans les colonnes de nos confrères, l’animatrice télé a donné des détails sur ce choix si important : “Soraya est un prénom arabe d’origine persane qui veut dire princesse. Pour avoir souvent écrit sur la transmission et l’héritage spirituel et culturel, c’était une continuité évidente.

J’aime ce prénom un peu daté.” Sur sa lancée, la journaliste a précisé en quoi la naissance de son bébé lui a donné la force de se relever après la mort difficile à accepter de sa mère (survenue en octobre 2022) : “Après le décès de maman, et avant de tomber enceinte, je me demandais comment la faire revivre. Aujourd’hui, j’adore entendre quelqu’un le prononcer, quand on me demande par exemple : ‘Comment va Soraya ?’ Et j’aime à penser que la grande Soraya veille sur la petite.”

Un prénom pas assez intégriste pour certains ? Sa réponse cash

Lorsque nos confrères l’ont interrogée sur les choix de prénoms d’enfants, qui peuvent aussi être très politiques, Sonia Mabrouk a déclaré, en toute franchise, ne pas en avoir tenu compte lors de la naissance de sa petite fille : “Je n’ai jamais appréhendé la question de l’intégration ou de l’assimilation à travers un prénom. Je me suis toujours opposée à Éric Zemmour sur ce sujet. Je lui avais dit d’ailleurs. C’est une question de comportement, dans ce qu’on partage en mœurs, en codes culturels.” Avant de conclure, fermement : “Le prénom doit rester de l’ordre du privé.”