VIDÉO – Anne-Elisabeth Lemoine surprise : Mazarine Pingeot la corrige sèchement dans C à Vous
Alors qu’elle vient de publier 11 Quai Branly chez Flammarion, Mazarine Mitterrand Pingeot était l’invitée d’Anne-Élisabeth Lemoine ce mardi 22 octobre. Mais l’animatrice semblait avoir été mal informée lorsqu’elle a affirmé que le défunt père de l’écrivaine était fan d’un célèbre chanteur français.
Mazarine Pingeot n’avait que 21 ans quand son père, François Mitterrand, est décédé. Cela n’a pas empêché l’écrivaine de garder de vifs souvenirs de l’ancien président, comme en atteste son dernier roman, 11 Quai Branly, publié chez Flammarion le 16 octobre dernier et dans lequel elle revient sur son adolescence cachée sous les ors de la République. La bientôt quinquagénaire était invitée sur le plateau de C à vous, ce mardi 22 octobre et a dû corriger Anne-Élisabeth Lemoine lorsqu’elle a affirmé que son père “connaissait le répertoire de Michel Sardou par cœur”. “Ah bon ? Sardou ? Ah ouais, je ne l’ai jamais entendu chanter Sardou à la maison”, s’est-elle ainsi étonnée.
“C’est ce que Sardou affirme alors !” s’est alors rattrapée l’animatrice en riant, avant de demander à la philosophe si François Mitterrand aimait Charles Aznavour, étant donné que l’équipe du film consacré au chanteur était aussi sur le plateau.
“Aznavour oui, Ferré oui, Brel, mais Sardou j’ai pas le souvenir, mais peut-être dans une autre famille, vous savez, il en avait plusieurs, dont peut-être qu’il n’écoutait pas les mêmes chanteurs en fonction !” a ironisé l’auteure, provoquant l’hilarité des chroniqueurs. La fille de François Mitterrand a également partagé de doux souvenirs de famille, notamment une vidéo pour le moins inattendue…
Les souvenirs de Mazarine Mitterrand Pingeot au Palais de l’Alma
Dans son nouveau livre, Mazarine Mitterrand Pingeot retourne dans au Palais de l’Alma, le logement de fonction où son père l’avait fait loger en secret avec sa mère, de ses 6 à ses 9 ans. “C’est rare dans sa vie de pouvoir retourner dans un lieu dont on pense que la porte est définitivement close”, s’est émue la docteure en philosophie sur C à vous. Dans son ouvrage, elle raconte que jusque-là, elle “fermait les yeux” à chaque fois qu’elle arrivait devant la porte de l’imposant bâtiment.
“Pour plusieurs raisons. Parce que j’avais toujours peur qu’on me voie. Je pensais qu’en fermant les yeux, on ne me voyait pas. Ça, c’est un peu la politique de l’autruche”, a-t-elle expliqué, en se souvenant que lorsqu’elle rentrait chez elle, petite, elle devait “baisser la tête” pour que personne ne la remarque. “C’était presque comme une forme de désignation de mon existence illicite en cet endroit-là”, se souvient-elle, 40 ans plus tard.