Une nouvelle affaire secoue le monde de la chanson française. Kendji Girac, l’une des stars montantes de la scène musicale, se retrouve au cœur d’une tempête médiatique après des révélations choquantes sur sa vie privée. Selon le procureur de la République, le chanteur de 27 ans aurait intentionnellement tiré une balle dans son propre corps dans le but de faire pression sur son épouse, Soraya, lors d’une dispute conjugale.

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Cette situation explosive a suscité une vague de réactions, notamment de la part d’Andréa Bescond, la réalisatrice engagée du film « Les Chatouilles ». Dans une lettre ouverte publiée sur Instagram, elle n’a pas mâché ses mots, critiquant sévèrement le comportement de Kendji Girac et l’enjoignant à entreprendre une thérapie pour résoudre ses problèmes personnels.

Andréa Bescond, une voix engagée contre les violences

Connue pour son militantisme contre la pédocriminalité et son plaidoyer en faveur de l’extension des délais de prescription, Andréa Bescond n’a pas hésité à prendre la parole sur cette affaire. Dans sa lettre, elle dénonce sans détour les agissements de Kendji Girac, qu’elle considère comme une forme de torture psychologique infligée à sa femme.

« Tu es Kendji Girac. D’après les médias, tu t’es tiré une balle dans le corps pour mettre la pression à ta femme qui te fait des reproches sur ton comportement à risques. Sache que de menacer de se suicider quand un.e partenaire souhaite interrompre une relation, c’est une torture psychologique infligée à l’autre », écrit-elle sans ambages.