Michel Blanc : les causes de sa mort dévoilées
Michel Blanc est décédé subitement à l’âge de 72 ans dans la nuit de jeudi 3 à vendredi 4 octobre 2024. Invité sur « RTL » pour réagir à la nouvelle, son ami de toujours Gérard Jugnot a donné quelques précisions concernant les causes de son décès.
Le décès de Michel Blanc, survenu dans la nuit du 3 au 4 octobre à l’âge de 72 ans, a profondément secoué le monde du cinéma français. Connu pour son rôle culte de Jean-Claude Dusse dans « Les Bronzés », le comédien laisse derrière lui une carrière marquée par des films devenus des classiques. Son attaché de presse a confirmé que l’acteur est mort des suites d’un malaise cardiaque.
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Une annonce qui a bouleversé ses nombreux fans, mais aussi ses proches, en particulier ses amis de la célèbre troupe du Splendid. Parmi eux, Josiane Balasko a réagi avec émotion sur Instagram et a fait part de sa douleur à la suite de cette perte tragique. « Michel, mon pote, mon frère, mon partenaire », a-t-elle sobrement écrit.
« Ça a été un coup de massue »
De son côté, Gérard Jugnot, autre figure emblématique de cette troupe, s’est exprimé avec beaucoup de tristesse ce vendredi 4 octobre sur RTL. « Ça a été un coup de massue », a-t-il confié, encore sous le choc de cette disparition soudaine. Il a révélé que les causes du décès de son camarade seraient liées à une réaction allergique rare mais malheureusement fatale. « Je crois qu’il a fait un choc anaphylactique sur un médicament. Ils ont essayé de le réanimer, mais ça n’a pas suffi » a précisé Gérard Jugnot, la gorge serrée par l’émotion.
Il a aussi évoqué les derniers moments passés avec Michel Blanc, revenant sur leur dernière rencontre en avril dernier à l’occasion des 75 ans du magazine « Paris Match » où toute la troupe du Splendid s’était réunie pour faire la couverture et bien évidemment, personne n’imaginait cette sombre rentrée. “Tout allait bien, on s’était vus il n’y a pas longtemps pour la couverture de Paris Match. On avait ri comme des cons, comme d’habitude. On ne se voyait pas souvent, mais à chaque fois qu’on se retrouvait, on reprenait l’histoire là où on l’avait laissée avec beaucoup de drôlerie, de dérision sur nous ».