Johnny Hallyday condamné par la maladie : ce secret que Laura Smet et David Hallyday ont dû lui cacher
Le 9 décembre 2017, un élan collectif de deuil s’abattait sur la France, centré autour de la figure mythique de Johnny Hallyday, décédé seulement quatre jours plus tôt.
Publicité:
Au cœur de Paris, un hommage grandeur nature se dessinait, entrelacé de douleur et de souvenirs, notamment à travers les yeux de Laura Smet, profondément marquée et…
Le 9 décembre 2017, un élan collectif de deuil s’abattait sur la France, centré autour de la figure mythique de Johnny Hallyday, décédé seulement quatre jours plus tôt.
Publicité:
Au cœur de Paris, un hommage grandeur nature se dessinait, entrelacé de douleur et de souvenirs, notamment à travers les yeux de Laura Smet, profondément marquée et déconnectée lors de cette journée irréelle.
Les rues de Paris étaient le théâtre d’un dernier adieu poignant à Johnny Hallyday. Des centaines de personnes étaient venues manifester leur tristesse et leur respect.
Laura Smet, la fille du défunt, confiait à Paris Match son trouble : « Je n’ai rien compris à cette journée. J’étais complètement absente. »
Publicité:
Ces mots reflètent la sidération et l’immense vide ressenti par ceux qui étaient proches du chanteur.
Des mois de veille et de tensions
À Marnes-la-Coquette, Laura passait ses jours au chevet de son père, partageant des moments d’une intensité brûlante.
« Je suis venue tous les jours, » affirmait-elle, révélant également des échanges chargés d’émotion et parfois conflictuels, symptômes d’une fin de vie poignante et complexe.
Malgré la peur de la mort exprimée par Johnny, son entourage, y compris Laura, l’accompagnait avec une dévotion inébranlable.
Publicité:
Les derniers jours : un secret bien gardé
La progression inexorable de la maladie menait Johnny Hallyday à subir des séances de radiothérapie intensives, tandis que la douleur transcendait les effets de la morphine.
Un soir de novembre 2017, une crise respiratoire menait d’urgence le rockeur à la clinique Bizet. C’est là que la réalité de son état fut confirmée à ses enfants, David et Laura, sans que Johnny ne soit mis au courant.
« On nous a dit qu’il ne fallait pas qu’on lui dise, » confiait la fille du chanteur, soulignant l’horreur et la lourdeur de ce fardeau familial.
Publicité:
Une présence éthérée et persistante
Malgré le temps qui passe, la présence de Johnny reste tangible pour Laura, notamment dans les petits détails du quotidien et les grands événements de la vie.
Elle raconte comment, le jour de son mariage, la chanson Laura jouée à la radio semblait un message de son père.
« C’était comme s’il me disait : ‘Excuse-moi, je ne me suis pas réveillé à temps. Mais maintenant, on peut y aller.’ »
Ce récit d’une journée « perchée » grâce à lui montre la force du lien indéfectible entre le père et la fille, transcendant même la mort.