“Le genre à arriver avec un sapin de Noël le jour de Pâques” : Eddy Mitchell se livre sur ses regrets de père
Dans son ouvrage Autobiographie, paru le jeudi 7 novembre 2024 aux éditions Le Cherche Midi et que Télé-Loisirs a pu lire, le chanteur et acteur Eddy Mitchell se livre sur sa vie de famille et sur ses regrets de père absent.
De sa jeunesse parisienne dans le Belleville des années 1950 jusqu’à nos jours, Eddy Mitchell se raconte tout entier dans l’ouvrage Autobiographie, que Télé-Loisirs a pu lire. Un livre dont la sortie n’a pas été reportée en raison de son état de santé – contrairement à celle de son album – et qui paraît ce jeudi 7 novembre aux éditions Le Cherche midi. L’occasion pour le rockeur d’aborder sans détour les grands moments de sa vie, ses coups de gueule, entre autres une altercation avec un célèbre réalisateur auquel il aurait voulu “caser la gueule”, mais aussi ses plus grands regrets.
“Je ne pense pas avoir été un mauvais père” : Eddy Mitchell se confie sur sa vie de famille
Le chanteur en profite également pour se livrer sur sa relation particulière avec ses enfants, Eddy et Marilyn, nés de sa première union avec Françoise Lavit, et Pamela, qu’il a eue avec son épouse Muriel Bailleul. Eddy Mitchell a-t-il été un bon père ? “Je ne pense pas avoir été un mauvais père”, écrit-il, avant de préciser que ce sentiment semble également partagé par ses progénitures. Le rockeur a cependant un grand regret : “Avec mes enfants c’était plus compliqué d’être là. […] J’étais un père assez absent. Beaucoup sur les routes. J’étais du genre à arriver avec un sapin de Noël le jour de Pâques”, déplore Eddy Mitchell.
Ce délit commis par Eddy Mitchell pour faire plaisir à sa fille Marilyn
Eddy Mitchell ne manque toutefois pas de se rattraper dès qu’il en a l’occasion. Un jour, alors qu’il s’apprête à enregistrer un titre dans un studio américain, il aperçoit accroché au mur un disque d’or de l’artiste folk Linda Ronstadt, que sa fille Marilyn adore. “En bon papa, je décide de lui faire un cadeau et je vais discrètement décrocher du mur le disque de Linda, avec l’intention de le mettre dans ma valise”, se souvient l’interprète de La Dernière séance. Eddy Mitchell est finalement pris la main dans le sac et contraint de remettre le disque là où il l’a trouvé après s’être fait grassement réprimander. “Décidément, je n’étais pas fait pour être délinquant”, s’amuse le rockeur.