Le travail de cet huissier n’est toutefois pas suffisant, puisque Télérama a appris, le 18 octobre dernier, que la cour d’appel de Paris avait ordonné une nouvelle expertise des images brutes du documentaire avorté de Yann Moix. Le tribunal, à la demande de l’écrivain et de Gérard Depardieu, aurait également demandé à France Télévisions de lui transmettre le rapport cité plus haut et réalisé en décembre 2023.

Le réalisateur et l’acteur jugé le 27 octobre prochain pour agression sexuelle ont par ailleurs attaqué en justice France Télévisions et la société de production du documentaire qui n’a pas vu le jour, Hikari, pour “montage frauduleux, abus de confiance, travail dissimulé”. Ils réclament respectivement 3 millions d’euros et 2,5 millions d’euros de dommages-intérêts, relate Le Parisien.