Demi-finaliste de la onzième saison de la Star Academy, Héléna Bailly est rapidement devenue une
figure emblématique du programme. Après son passage dans l’émission, la jeune chanteuse belge a vu sa vie changer du tout au tout.
Héléna Bailly a été révélée au grand public grâce à sa participation à la onzième saison de la Star
finale, où elle a finalement été éliminée avant que Pierre Garnier remporte la victoire, le 3 février 2024.
Après cette aventure marquée par ses performances vocales et son authenticité, la jeune femme a
rapidement su capitaliser sur sa notoriété en lançant sa carrière musicale avec des titres
comme Aimée pour de vrai et Summer Body, prônant l’acceptation de soi.
Après son départ du château, Héléna Bailly n’a pas tardé à enchaîner les projets. En plus de ses succès
musicaux, elle a participé à une tournée avec ses anciens camarades de la Star Academy, confirmant son
talent. Cependant, ce bond vers la célébrité a aussi apporté son lot de bouleversements
dans sa vie. Dans une interview pour NRJ, la chanteuse a expliqué comment sa notoriété affecte
désormais son quotidien, surtout lorsqu’elle se rend en Belgique.
Héléna Bailly : un quotidien chamboulé depuis la Star Academy
Lors de son entretien, Héléna n’a pas caché les difficultés auxquelles elle doit désormais faire face.
“Faire les courses, c’est devenu compliqué. Par exemple, là, j’ai vu que c’était la braderie à
Waterloo, avant, j’adorais aller à la braderie, maintenant, je ne peux plus. Ça dépend des endroits en
soit. Dans les petites villes d’où je viens, c’est plus compliqué, mais quand je suis à Bruxelles
ou Paris les gens s’en foutent, ils ne savent pas qui je suis”, a-t-elle confié, tout en faisant une petite mise
au point au sujet de ses fans. “Ils sont tous très gentils, bienveillant, je n’ai rien à dire là-dessus”,
a-t-elle assuré. La jeune artiste jongle ainsi avec les avantages et les inconvénients de sa nouvelle notoriété.
Cet article a été rédigé avec l’aide d’une intelligence artificielle, relu, corrigé et enrichi par les journalistes de la rédaction.