“On m’appelait petit poney” : Angélique Angarni-Filopon (Miss France 2025) victime de harcèlement, ses touchantes confidences
Ce samedi 14 décembre 2024, Angélique Angarni-Filopon, Miss Martinique 2024 a été couronnée Miss France. Dans les minutes qui ont suivi son règne marqué par d’innombrables larmes, la reine de beauté s’est confiée sur le chemin parcouru depuis l’époque où elle était victime de harcèlement en raison de son physique.
Une sacrée revanche sur la vie. Ce samedi 14 décembre 2024, trente candidates étaient en compétition à l’Arena Futuroscope pour remporter l’écharpe tant convoitée de Miss France. Finalement, après une cérémonie marquée par l’émotion notamment du côté de Jean-Pierre Foucault qui fêtait sa 30ème année aux commandes de l’émission, c’est Angélique Angarni-Filopon (Miss Martinique) qui est devenue Miss France 2025 en s’imposant face à Miss Nord-Pas-de-Calais (Sabah Aïb).
C’est la présidente du jury Sylvie Vartan qui a annoncé l’heureuse nouvelle à la jeune hôtesse de l’air. Cette dernière est âgée de 34 ans et a profité de la suppression de la limite d’âge pour tenter sa chance. “C’était un rêve de petite fille au départ, puis ça s’est transformé en désir de jeune femme. J’avais une réelle envie de représenter quelque chose de différent”, a-t-elle expliqué au micro de TF1 Info, se considérant toujours en pleine fleur de l’âge malgré son statut de trentenaire. Une grande première dans l’histoire des Miss. “En devenant Miss Martinique, il y avait une possibilité que je devienne Miss France. Et peut-être un signe : j’ai été la 14e Miss régionale élue, un 14 septembre, et nous sommes le 14 décembre. Mais à chacune des élections régionales, je me disais, ah ouais elles sont très belles, et je voyais la victoire s’éloigner. Je me disais que ce serait chouette, cette expérience. Mais c’était très très loin, dans ma tête, de me dire que j’allais gagner”, a-t-elle expliqué par ailleurs au Parisien à l’issue de son sacre.
Angélique Angarni-Filopon (Miss France 2025) : ses déchirantes confidences sur le harcèlement dont elle a été victime
Toujours au micro de nos confrères, elle a confié ne pas avoir toujours réussi à accepter et aimer son physique : “J’étais très petite jusqu’en CM2, et j’avais les dents en avant, on m’appelait petit poney”, révèle celle qui a grandi dans le Val d’Oise avant de partir dans l’île natale de ses parents et grands-parents qu’elle affectionne tant. Une jolie revanche sur ceux qui l’ont blessée.