“Quand il est parti…” : Très ému, Jean-Paul Rouve évoque ce geste qu’il ne peut pas faire depuis la mort de son ami Michel Blanc (VIDEO)

Le 3 octobre dernier, Michel Blanc est décédé à l’âge de 72 ans.

De passage dans En Aparté sur Canal+, son ami Jean-Paul Rouve est apparu très ému en se remémorant leur relation aussi amicale que professionnelle.

Player Video

Ecouter cet article

“Quand il est parti…” : Très ému, Jean-Paul Rouve évoque ce geste qu’il ne peut pas faire depuis la mort de son ami Michel Blanc (VIDEO)

Il y a cinq semaines, l’annonce a été un bouleversement. Michel Blanc est décédé à l’âge de 72 ans d’un choc anaphylactique suite à l’injection d’un produit de contraste.

De nombreux hommages lui ont été rendus à la télévision et ses films ont été rediffusés.

 

Lors de ses obsèques, la troupe du Splendid était réunie pour un dernier hommage, mais d’autres personnalités publiques étaient également présentes. C’est le cas Jean-Paul Rouve.

L’acteur a été secoué par sa mort, eux qui ont travaillé ensemble à plusieurs reprises et notamment sur le long-métrage Voyez comme on danse (2018) et Les Cadors (2022).

Jean-Paul Rouve sur Michel Blanc : “Quand Michel est parti, ils ont passé le film et je n’ai pas pu…”

Ce mardi 12 novembre, l’éternel Tuche était de passage dans l’émission En Aparté sur Canal+ pour parler de son actualité, marquée par la sortie de La Vallée des fous au cinéma. Sur l’écran du loft, Jean-Paul Rouve a revu des images de lui et son ami Michel Blanc.

Un moment touchant : “Je suis ému”. “Quand Michel est parti, ils ont passé le film (Les souvenirs) un soir et je n’ai pas pu“, confie-t-il, “Je n’y arrive pas“.

Le choc étant encore là et la douleur encore plus, Jean-Paul Rouve se souvient de cette première fois où ils ont travaillé ensemble en 2014 : “On est devenu copains là, et on a joué ensemble. Michel m’a dirigé dans son film. Ce qu’on n’avait pas fait ensemble, c’est écrire. On avait cette envie-là tous les deux…

Ce geste qu’il ne peut faire depuis la mort de Michel Blanc

Jean-Paul Rouve peine à mettre des mots sur sa douleur : “C’est relou“. Mais ce n’est pas la chose seule qui l’embête : “C’est relou de ne pas pouvoir l’appeler… C’est chiant ça“.

Entre trop affecté, celui qui rêve de pouvoir le revoir évoque ce cap qu’il ne parvient pas à franchir depuis sa disparition. “Je n’arrive pas à effacer son numéro…, avoue-t-il, le visage très pensif.

Et pourtant, lorsqu’ils s’appelaient, il se souvient qu’il fallait avoir du temps devant soi tant il était bavard. “Il fallait prévoir une heure ! Il pouvait parler de trucs inintéressants pendant super longtemps quand même.

En aparté, à retrouver en intégralité sur l’application myCANAL.