Manuela (L’amour est dans le pré) déçue par le peu de courriers reçus, elle s’exprime
L’amour est dans le pré continue sa programmation sur M6 et parmi les agriculteurs en quête de sa perle rare, il y a Manuela, une éleveuse de poules. À Télé-Loisirs, elle s’est confiée sur le début de son aventure, lors de la réception des lettres.
Capture d’écran L’Amour est dans le pré / M6
Les prétendants manquent à l’appel ?
Originaire du sud de la France, cette quadragénaire a immédiatement séduit les téléspectateurs avec son franc-parler et sa personnalité à la fois douce et sauvage. Pour Télé-Loisirs, elle a accepté de revenir sur le début de son aventure, et notamment sur la première étape : la réception des lettres. Elle n’a pas caché avoir eu une légère déception, qui l’a piquée dans son ego. “C’est plus compliqué pour les hommes d’écrire et la production nous avait prévenus que nous, les femmes candidates de l’émission, nous recevions moins de courrier”, commence par expliquer Manuela.
Mais la candidate ne s’attendait pas à en recevoir si peu, ce qui l’a particulièrement attristée. “Je n’en ai pas eu beaucoup et très sincèrement, je n’attendais rien de particulier. Malgré tout, le petit nombre reçu m’a fait réfléchir […] Je n’avais aucune attente… et finalement je me suis rendu compte qu’on en a forcément un peu et ça m’a un peu piqué, je le reconnais. J’étais un peu déçue. Et ça m’a même piqué de le reconnaître !”, précise-t-elle.
Les speed datings, une épreuve difficile
Dès le début de ce moment clé de l’émission, Manuela était “contente” mais consciente que le moment de vérité approchait. “Il y a un moment où, de toute façon, voilà, on est là, maintenant, il faut assumer”, raconte-t-elle avec réalisme. L’arrivée du premier prétendant a marqué pour elle l’entrée dans “le vif du sujet”, un passage obligatoire qui ne laisse plus de place aux hésitations.
Durant ces rencontres rapides, Manuela s’est imposée une règle d’or : respecter la démarche des prétendants. Quelles que soient ses premières impressions ou son ressenti personnel, elle a tenu à ne pas être blessante, désagréable ou condescendante. Toutefois, cette volonté de bien faire lui a peut-être coûté une part de spontanéité : “C’est là où j’ai peut-être manqué un peu de naturel”. En revanche, elle note que ses prétendants étaient fidèles à ce qu’ils avaient écrit dans leur lettre… Une journée chargée dont elle est revenue exténuée !