Nicolas Bedos condamné : la réaction de son ex Elsa Zylberstein en dit long
En commentaires sous la publication Instagram de la compagne de Nicolas Bedos, postée juste après l’annonce de sa condamnation pour agressions sexuelles, Elsa Zylberstein a réitéré son soutien au cinéaste.
Les accusations d’agressions sexuelles à l’encontre de Nicolas Bedos ont suscité la surprise de beaucoup de personnes ou fans du cinéaste. Le 22 octobre, le comédien a été jugé par le tribunal de Paris pour des faits qui auraient eu lieu entre 2018 et 2023. Il a ainsi été condamné à un an de prison dont six mois avec sursis probatoire. Malgré tout, il conserve le soutien de beaucoup de ses proches, à commencer par sa femme, Pauline Desmonts, qui a publié un long texte sur Instagram pour réagir en dévoilant les mots de ceux qui sont aussi du côté du fils de Guy Bedos.
Dans les commentaires, l’ex-compagne du réalisateur de 45 ans, Elsa Zylberstein, a publié un émoji pour faire part également de son soutien. La comédienne de 56 ans a en effet commenté le symbole de deux mains jointes l’une contre l’autre, réitérant ainsi sa présence aux côtés de Nicolas Bedos et de ses proches dans cette affaire. Très proche de l’acteur, avec lequel elle a été en couple de 2005 à 2008 et dont elle est restée l’amie, elle a plusieurs fois affirmé qu’il est respectueux envers les femmes, assurant notamment auprès de La Tribune dimanche, le 15 septembre dernier, qu’il serait “féministe” et aurait mis fin à sa consommation d’alcool. “Depuis un an, Nicolas ne sort plus de chez lui. Il a quitté Paris et ne boit plus une goutte d’alcool”, affirmait-elle dans les colonnes de nos confrères, déplorant le comportement de ceux qui “lui ont tourné le dos” lorsque cette affaire a fait les gros titres de la presse. “Il a fait son examen de conscience et attend le procès dans le calme”, avait-elle ajouté avant sa condamnation
Un texte qui n’a pas reçu que du soutien
De son côté, dans sa publication Instagram, Pauline Desmonts a assuré que son compagnon était “injustement puni” et était devenu “un symbole” de la lutte contre les violences sexuelles. “Ça s’appelle de la tyrannie”, a-t-elle déploré, regrettant la condamnation. De quoi faire bondir de nombreux internautes, jugeant ses propos “hors-sol” et l’accusant de “vivre en dehors de la réalité”. “Pas un mot pour les victimes, dénégation de la justice, aucune remise en question, quelle indignité”, “J’espère que ce genre de situation n’arrivera jamais à votre fille”, peut-on lire dans les commentaires.