Patrick Sébastien rend un émouvant hommage à sa mère face à Michel Drucker : “Je ne l’ai jamais lâchée…” (VIDÉO)
Invité de Vivement Dimanche pour célébrer ses 50 ans de carrière, Patrick Sébastien a livré de tendre confidences sur sa relation avec sa mère disparue en 2008.
Patrick Sébastien a fait son retour sur le service public. Ce dimanche 29 décembre, l’ancien animateur vedette de France Télévisions était l’invité exceptionnel de Vivement Dimanche sur France 3 pour célébrer ses 50 ans de carrière. Pour l’occasion, Michel Drucker a fait les choses en grand afin d’honorer celui qu’il a aidé à débuter à la télévision cinq décennies plus tôt.
Patrick Sébastien ému en évoquant sa mère face à Michel Drucker
Au tout début de l’émission, Michel Drucker a tenu à dédier ce numéro à Andrée Boutot, la mère de Patrick Sébastien, surnommée “Dédé” : “Merci Dédé ! Je pense à vous ce soir, c’est aussi votre émission Dédé.” Michel Drucker a ainsi diffusé une interview de la maman de son invité réalisée avant sa disparition en 2008, où l’on peut voir cette dernière témoigner de l’amour de son fils. Une séquence qui a fortement ému Patrick Sébastien : “Je ne l’ai jamais lâchée, maman, elle est avec moi, elle est sur mon épaule, comme la tienne est sur ton épaule. Vos mamans, vos disparus sont sur vos épaules, je crois beaucoup à ça. Ils sont quelque part autour de nous.”
Dans son dernier livre, intitulé Le carnaval des ambitieux, Patrick Sébastien cite sa mère qui a déclaré par le passé : “Nous sommes tous égaux devant l’injustice.” Une phrase qui a marqué l’animateur aujourd’hui âgé de 71 ans, comme tant d’autres : “Elle m’en a dit tellement des belles des phrases. La plus belle qu’elle m’a dite sur la réussite et sur l’argent, elle est magnifique. Elle m’a dit : « À quoi ça sert d’acheter un matelas neuf à crédit si le prix du crédit t’empêche de dormir ! »”
Patrick Sébastien se souvient des mots de sa maman
“Elle m’a dit plein d’autres choses“, poursuit Patrick Sébastien dans le canapé rouge de Michel Drucker. “Des choses essentielles, en m’interdisant de ne plus être moi, en me disant : « N’oublie jamais d’où tu viens, jamais. » Et je n’oublie pas d’où je viens, j’y reviens sans arrêt d’ailleurs.”