Il a bien quelques neurones en moins, mais ça ne le dérange pas. Invité dans l’émission de Marc-Olivier Fogiel “Le Divan”, qui sera diffusée ce mardi soir sur France 3, Florent Pagny n’a pas hésité à aborder la question des drogues douces.

Fumeur de longue date, le chanteur, qui vient de sortir son nouvel album Habana, a même appelé son chien Ganja. “Ça grille un peu la mémoire ce qui n’est pas super grave parce qu’à la fin tu gardes les bons souvenirs. Et puis quand tu as une mémoire qui se remplit un peu trop, c’est pas plus mal de zapper un peu”, a raconté Florent Pagny en toute franchise.

“Fumer des pétards à 15 ans, c’est des conneries”

Quant à savoir quel effet la fumette a sur lui, il a expliqué : “ça me stabilise (…) J’étais un hyperactif. J’étais un môme très très speed”, a-t-il expliqué en précisant qu’il avait fréquenté de nombreux pédopsychiatres. Il a ainsi expliqué que le cannabis l’avait stabilité à l’âge adulte alors qu’il gardait ce côté très nerveux. “J’encaisse beaucoup mieux”, a-t-il déclaré.

Mais si Florent Pagny ne peut pas se passer de son pétard quotidien depuis 30 ans, il déconseille aux jeunes de faire de même. “Fumer des pétard à 15 ans, c’est des conneries”, a-t-il lancé avançant que cela pouvait les griller pour la suite.

“J’ai fini à l’hosto avec un trou dans le ventre”

La star a, par ailleurs, évoqué d’anciens problèmes graves avec l’alcool qui l’ont conduit tout droit à l’hôpital. “C’était peut-être un truc médical mais c’était surtout une sorte de burn-out. Tout avait cramé”, a expliqué sa sœur, Marie-Pascale Giunta. Florent Pagny, lui, a été plus précis : “J’ai fini à l’hosto après une biture, où j’aurais pu y passer. J’avais un mal être un soir et je me suis mis à picoler et j’ai fini à l’hosto avec un trou dans le ventre.”